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Dossier Banque des savoirs

La Grande Borne : une cité exemplaire ?

  • journaliste : S. Taboury
  • expert : P. Martin
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Construite entre 1967 et 1971 sur des terrains agricoles entre Grigny et Viry-Châtillon, la cité de la Grande Borne occupe une place à part dans la production des grands ensembles (des années 50 à 1973). Pensée et dessinée par l'architecte Emile Aillaud, son originalité rompt avec la monotonie des constructions de l'époque. Mais l'âge d'or des premières années ne dure qu'un temps et face aux difficultés, habitants et pouvoirs publics se mobilisent.

© Archives municipales de Grigny, cote 3 Fi 745, Droits réservés.

En 1965, désirant reloger les habitants chassés du sud de la capitale en pleine rénovation, l'Etat charge l'architecte Emile Aillaud de la conception d'une vaste cité HLM sur le territoire des communes de Grigny et Viry-Châtillon, au lieu-dit «La Grande-Borne», situé à proximité de l'autoroute A6.

Grigny n'est alors qu'un gros village rural d'à peine 3000 habitants, accroché aux flancs d'un coteau, à 25 km au sud de Paris.
Construite de 1967 à 1971, la cité de la Grande Borne se différencie nettement des nouveaux ensembles d'habitations édifiés durant cette période. Désireux de lutter contre l'uniformité de la préfabrication, Emile Aillaud place l'enfant au cœur du projet et crée un quartier original de 3775 logements, où s'intercalent courbes et éléments droits, décorations, rues piétonnes et immeubles de faible hauteur (deux à quatre étages), grands terrains de jeux et espaces verts regroupés en un labyrinthe de sept quartiers ayant chacun un type de décor différent.
Spacieux et bien agencés, les appartements offrent aux premiers locataires un confort moderne jusqu'ici inaccessible, avec chauffage central, salle de bains,... Chacun découvre avec émerveillement un environnement ludique et déroutant, facilitant les relations de voisinage dans un espace replié sur lui-même.

En quelques années, avec la construction de la Grande Borne et de la copropriété de Grigny II (5000 logements), la commune de Grigny passe de 3000 à 27000 habitants.
Mais les locataires déchantent rapidement. Sa

Inscrite dans un triangle délimité par l’A6, la RN 445 et la RD 310, la cité prend la forme d'"un coquillage" (Emile Aillaud), comme protégée de la circulation par ses immeubles entourant la plaine centrale.
© Archives municipales de Grigny. Droits réservés
ns concertation, ni réflexion, les projets de la Grande Borne et de Grigny II ont été imposés par les pouvoirs publics, sans équipements collectifs, infrastructures, ni activités économiques. Coupée du centre-ville par l'autoroute du sud, la Grande Borne manque de tout : écoles, commerces, bureau de poste, emplois, crèches, transports.

De plus, les malfaçons du bâti ne tardent pas à apparaître. Les locataires et la municipalité de Grigny manifestent afin d'obliger l'Etat à prendre ses responsabilités. Des crédits exceptionnels sont progressivement octroyés pour la mise à niveau des équipements et services. La cité fait l'objet d'une réhabilitation de 1983 à 1990.
Mais la situation des familles se dégrade. Vers la fin des années 70, avec la crise économique qui frappe le pays, un climat d'insécurité sociale se répand et stigmatise une population de plus en plus fragile.
Les pouvoirs publics interviennent dans le cadre d'un dispositif de Développement social des quartiers (1982), puis Grand Projet Urbain (1994) pour trouver des solutions aux logiques d'exclusion qui rongent et isolent la cité : désenclavement de la cité, amélioration de la sécurité, des services publics, relance de l'économie et de l'emploi, soutien aux écoles et associations,...
Devenu Grand projet de Ville (2000), Grigny souhaite s'ouvrir et changer son image. Les habitants de la Grande Borne, héritiers des pionniers du début des années 70, seront encore les premiers mobilisés.

01/ Une ville imposée

En 1969, quand les premiers locataires s'installent dans les nouveaux logements de la Grande Borne, Grigny n'est alors qu'un gros village rural d'à peine 3000 habitants, accroché aux flancs d'un coteau, à 25 km au sud de Paris. Trois ans plus tard, après la construction de la cité HLM de la Grande Borne (3775 logements) et de la copropriété de Grigny II (5000 logements), 27000 habitants résident sur le territoire de la commune.

Chantier de la Grande-Borne de 1967 à 1971.
© Archives municipales de Grigny. Droits réservés.
Fruit d'une politique à courte vue, lancée sans concertation, ni réflexion, cette « ville-champignon » imposée par l'Etat, sans équipements collectifs, ni activités économiques, ne cesse de panser ses plaies.

Les prémisses du projet de la Grande Borne apparaissent au début des années 60. Depuis la Libération, les priorités du gouvernement et du district de la région parisienne sont tournées vers l'effort de reconstruction, la recréation des infrastructures et de l'appareil productif. Mais pour les citoyens, retrouver un toit est souvent la principale préoccupation. Bidonvilles, squats, garnis, hôtels meublés, entassement des jeunes ménages chez les parents, dans la région parisienne, la crise du logement touche toutes les catégories sociales.
Malgré cela, le nombre de constructions reste faible. Les investisseurs sont rares, l'appareil d'Etat tarde à réagir et l'industrie du bâtiment n'est pas à même de répondre à la demande. En 1954, avec les morts de l'hiver et l'« insurrection de la bonté » de l'abbé Pierre, le problème du logement devient un véritable drame national, et les pouvoirs publics sont durement interpellés sur leur incapacité à assurer le droit minimum au logement, l'accès au confort moderne pour tous (eau courante, douche, WC…).
La fin du taudis et la modernisation de l'industrie du bâtiment deviennent une priorité nationale. Il faut construire vite, en nombre… et bon marché. C'est le début de la politique des grands ensembles.
Grigny connaît dès la fin des années 50 une première vague d'urbanisation avec la cité américaine des Blancs Manteaux, les HLM du Potager de l'Arbalète et le lotissement de la Mare aux Moines. C'est à cette époque également qu'est entrepris le percement de l'autoroute A6 (1957-1960) qui morcelle le territoire et annonce l'extension de l'agglomération parisienne.

Confronté au blocage foncier et immobilier qui caractérise Paris, l'Etat décide en effet de contourner la capitale et de bâtir à l'extérieur de la ville des lieux où l'on pourra réunir tous les bienfaits de la modernité : l'hygiène, le confort, la nature,... Il s'agit de montrer que l'on propose un nouvel urbanisme… là où le prix du foncier sera le plus accessible.
Exemple d'architecture urbaine dans les années 70.
© Archives municipales de Grigny. Droits réservés

Situé au nord est du département de l'Essonne, et inclus dans la zone d'extension de la région parisienne, Grigny est un site idéal, disposant de nombreux espaces agricoles « libres ».
Désireux de construire rapidement des logements susceptibles d'accueillir les populations modestes chassées par les opérations de rénovation de la capitale (XIIIe arrondissement notamment) l'Etat programme en 1967 - contre l'avis de la municipalité - la construction d'une grande cité HLM de l'autre côté de l'autoroute, au lieu-dit La Grande Borne. Peu après, un promoteur achète des terrains près du village et commence la construction de la plus grande copropriété de France : Grigny II.
La cité de la Grande Borne s'installe sur la partie ouest de la commune, sur un triangle de 90 hectares situé derrière l'aqueduc des Eaux de la Vanne (1867-1874) et de l'autoroute du soleil. Ce sont des terres agricoles appartenant à la Ferme Neuve, ainsi que des carrières de pierre meulière exploitées par les travailleurs souvent italiens de la société Piketty.
Le permis de construire est délivré le 10 octobre 1967. Pensée et dessinée par l'architecte Emile Aillaud (1902-1988), l'opération est réalisée par l'Office public HLM interdépartemental de la région parisienne (OPDHLMIRP). Les travaux sont confiés à l'entreprise Bouygues.
3775 logements sont construits de 1967 à 1971: 3479 collectifs HLM (3115 sur Grigny, 364 sur Viry-Châtillon), 206 logements individuels ILN appelés « Patios », et 90 logements pour la cité de transit LOGIREP.
Le quartier du Damier sort de terre rapidement, et les premiers locataires arrivent dès 1969

02/ Redorer l'image des grands ensembles

En confiant en 1965 la réalisation de la Grande Borne à l'architecte Emile Aillaud, l'Etat entend redorer le blason de sa politique des grands ensembles,

Un exemple de l'aménagement de l'espace urbain dans les années 70.
© Archives municipales de Grigny, Droits réservés
passablement écorné par les réalisations de « tours » et « barres » monotones, impersonnelles et déshumanisées construites en série dès la fin des années 50.
En rupture avec les habitudes de l'époque, le projet d'Emile Aillaud impose un nouveau paysage urbain, où s'intercalent courbes et éléments droits, décorations, rues piétonnes, et immeubles de faible hauteur (deux à quatre étages), regroupés en un labyrinthe de sept quartiers ayant chacun un type de décor différent. Il introduit de la couleur sur les façades, et place l'enfant au cœur de la cité en créant des espaces verts, de grands terrains de jeux et d'aventures au milieu d'un dédale de bâtiments, ponctué de fresques et d'œuvres d'art monumentales.

Si les crédits du logement social obligent à construire simplement et à moindre coût, Emile Aillaud prouve que l'on peut réaliser autrement, lutter contre l'uniformité de la préfabrication, avec des formes, des couleurs, une autre approche de la ville.
Kafka, fresque murale de Fabio Rieti.
© Ville de Grigny, Mission histoire locale
La Grande Borne n'est pas une cité comme les autres. Ville énigmatique, elle permet de laisser aller son imaginaire dans un espace sans rues, mais peuplé de cours, de places aux noms évocateurs : cours des Epicéas, des Platanes, des Marronniers, Place de l'Erable,... Le regard est immanquablement attiré par les couleurs des fresques murales de Fabio Rieti (une pomme, une petite fille, la tête d'un enfant, Rimbaud, Kafka), les peintures abstraites d'Eva Lukasiewicz, l'Okapi de Gilles Aillaud, les sculptures de François Lalanne (pigeons, une grosse tête), ou de Laurence Rieti (Gulliver, un serpent).
Inscrite dans un triangle délimité par l'A6, la RN 445 et la RD 310, la cité prend la forme d'« un coquillage » (Emile Aillaud), comme protégée de la circulation par ses immeubles entourant la plaine centrale.

03/ Du rêve à la désillusion

En 1969, alors que la plupart des routes et des trottoirs sont encore en terre battue, les premiers habitants commencent à s'installer à la Grande Borne. Venus des meublés, chambres de bonne des XIIIe et XIVe arrondissements de Paris, ou de petits logements de Viry-Châtillon, ils découvrent avec plaisir ce nouvel environnement ludique et déroutant.

Jeux d’enfants au coeur de La Grande-Borne.
© Archives municipales de Grigny. Droits réservés
Entourée de champs et de bois, la cité de la Grande Borne est un labyrinthe dans lequel les premiers arrivants se perdent aisément.
Les appartements bien agencés et spacieux, équipés du chauffage central, d'une salle de bains avec baignoire, offrent un confort inconnu jusque-là. Quelques 12000 habitants s'installent jusqu'en 1971 dans les immeubles de la Balance, de l'Astrolabe ou des Patios. Ce sont des familles souvent jeunes, modestes. La plupart sont ouvriers ou employés et travaillent à l'extérieur. Les enfants sont nombreux.
La conception des quartiers favorise les relations de voisinage. La cage d'escalier, le gardien, les espaces collectifs, le chemin de l'école facilitent les rencontres. Grâce à l'absence de voitures dans la cité, les enfants peuvent jouer librement à l'extérieur, sur les places ou les espaces verts.

Cependant, si l'architecture et la conception de la cité étaient originales, la qualité de la construction laisse à désirer. Comme souvent dans les grands ensembles, l'édification de la Grande Borne s'est faite très vite, grâce à l'industrialisation du bâtiment, à l'utilisation massive du béton et du « chemin de grue » (voie ferrée sur laquelle roule une grue qui élève les composants de l'immeuble).
Les réalisations sont souvent bâclées : peu d'années après l'occupation des logements, un grand nombre de locataires ont à subir la condensation et les infiltrations d'eau à travers les panneaux de façade, qui entraînent des moisissures dans les appartements. L'humidité envahit les pièces et pourrit les murs. Les malfaçons touchent rapidement l'ensemble de la cité, si bien qu'en 1982, plus de 750 logements sont déclarés insalubres.
Les locataires déchantent.
Dans les années 70, les manifestations se multiplient pour le blocage des charges et loyers et l'attribution des logements vides.
© Archives municipales de Grigny. Droits réservés
Coupée du centre-ville par l'autoroute, la Grande Borne est isolée et manque de tout : crèches, écoles, commerces, bureau de poste, emplois. Les enfants des premiers résidents sont scolarisés à l'école du village, les rues et trottoirs ne sont pas achevés. Il n'y a pas de gare : pour aller travailler à Paris, certains habitants passent quatre heures par jour dans les transports en commun.
Sans concertation, ni réflexion, les projets de la Grande Borne et de Grigny II ont été décidés par les pouvoirs publics, imposant au village les responsabilités d'une ville sans lui donner les moyens de les assumer. Le projet de la Grande Borne avait été mis en œuvre avant l'institution de la taxe locale d'équipement et la commune, déjà fortement déficitaire, n'avait pas les moyens de traiter les problèmes relatifs à l'aménagement des infrastructures, équipements et services.

De l'autre côté de l'autoroute, le sentiment d'isolement et d'injustice apparaît rapidement, d'autant que certains commencent à ressentir les effets dévastateurs de la crise économique lancinante qui frappe le pays. Les jeunes et les femmes sont les premiers touchés.
Les locataires manifestent et la municipalité fait le choix d'engager la lutte avec les habitants et les associations locales afin de contraindre l'Etat à lui octroyer des crédits exceptionnels pour pallier le déficit budgétaire, et assumer les charges qui lui incombent.
Manifestations et conseils extraordinaires se multiplient. Les habitants se mobilisent pour obtenir les subventions d'équilibre permettant de construire les équipements sportifs, scolaires et culturels. Une longue campagne de revendications est menée année après année pour obtenir le blocage des loyers et des charges, l'attribution des logements vides, ou l'entretien des immeubles et de leurs abords.
Au final, la grogne des habitants est entendue. De 1971 à 1977, Grigny prend l'aspect d'un vaste chantier. Une gare est construite, et les subventions de l'Etat permettent de faire face aux besoins des habitants dans tous les domaines : enfance, enseignement, aide sociale, voirie, sport et culture… Des écoles, des gymnases, un stade, une piscine sont construits. Un marché est mis en place et de nouveaux services sont créés. Les commerces s'installent.

04/ Crise économique et mal-vivre

Face à l'augmentation des difficultés, de nombreux locataires se mobilisent pour obliger l'Office public interdépartemental de la région parisienne (OPIRP) à intervenir.

La Grande-Borne vue autrement, dans les années 70.
© Archives municipales de Grigny. Droits réservés

Des manifestations sont organisées pour faciliter le relogement des personnes habitants des appartements humides ou fissurés, aider les locataires en difficultés financières, obtenir le blocage des charges pour que les travaux soient effectués, ou arrêter l'augmentation du chauffage en réclamant la suppression de la taxe de la T.V.A. sur celui-ci.
La crise économique n'arrange pas la situation déjà difficile de certains ménages. Les conditions de vie deviennent pénibles et leur environnement se dégrade. Au fil des années, de nombreuses familles - les plus aisées - accèdent à la propriété et quittent la Grande Borne. Vers la fin des années 70, le mythe de la promotion sociale pour tous, que l'installation des familles à la Grande Borne impliquait, s'effrite pour de nombreux habitants de la Cité. Alors que la croissance intégrait et employait, la crise exclut et isole une population de plus en plus fragile : familles nombreuses ou monoparentales, chômeurs, jeunes et étrangers…

Cette concentration de populations « en difficulté » accentue l'image négative des grands ensembles, déjà perceptible au milieu des années 60. La « sarcellite » - ou « le mal des grands ensembles » - dont un journaliste du Figaro s'était fait l'écho dès 1963, apparaît comme un phénomène de crise sociale plus globale - « la crise des banlieues » - qui empire au fur et à mesure de l'augmentation de la précarité des familles, souvent assignées à résidence. Des incidents éclatent au début des années 80, dans les banlieues lyonnaises et parisiennes, et font prendre conscience aux pouvoirs publics des effets dévastateurs des logiques de ségrégation et d'exclusion souvent à l'œuvre dans ces quartiers.

05/ Politique de la ville : quel avenir pour la Grande Borne ?

En 1982, le quartier de la Grande Borne est déclaré « îlot sensible régional » (rapport Dubedout) et fait partie des 16 cités retenues dans le cadre de la politique de Développement social des quartiers (DSQ) lancée par l'Etat en 1981. Des moyens nouveaux accompagnent la réhabilitation des bâtiments (1983-1990) : développement social, zone d'éducation prioritaire, mission locale pour l'insertion sociale et professionnelle des jeunes en difficulté. La ville installe une équipe opérationnelle place de l'Eglise.

Un exemple de l'architecture urbaine des années 90.
© Ville de Grigny, Mission histoire locale
Mais au début des années 90, la situation des familles reste préoccupante : la population est majoritairement jeune (47,8 % de moins de 19 ans en 1990), le taux de chômage est important (44 % d'actifs seulement, dont 88 % d'employés et ouvriers) et les ressources par foyer sont souvent limitées (220 Rmistes en 1990 sur 307 au total sur la ville, 52 % des foyers sont bénéficiaires de l'APL).
De nouveaux moyens sont donc octroyés par l'Etat dans le cadre d'un dispositif de Grand Projet Urbain (1994), du Pacte de relance pour la Ville (1995-1997) et de la mise en place d'une zone franche urbaine en 1995. Des actions sont entreprises pour désenclaver le quartier et mieux l'insérer dans la ville, améliorer la sécurité, développer les services publics, relancer l'emploi et l'économie, soutenir les écoles et les associations, et créer des ressources fiscales pour la commune lui permettant de disposer d'une capacité d'intervention à la hauteur des enjeux.
Cependant, les effets de ces efforts restent peu perceptibles pour la population. Les écarts socio-économiques se maintiennent, voire s'accentuent.

Devenu Grand Projet de Ville (2000), Grigny souhaite à présent s'ouvrir et changer son image. À la Grande Borne, les objectifs à atteindre sont souvent les mêmes que dans la plupart des cités : réguler l'afflux de populations en grande difficulté, réduire les écarts sociaux et urbains avec les autres communes du nord de l'Essonne, intégrer le territoire dans les enjeux de développement des pôles économiques environnants (pôle logistique d'Orly, génopôle d'Evry, pôle de Massy-Saclay) pour favoriser l'accès à l'emploi.
Cependant, comme toujours, depuis plus de trente ans, ces combats ne pourront être gagnés qu'avec la participation active des habitants, acteurs indispensables du destin de leur cité – cette « ville imposée » objet aujourd'hui de toutes les attentions.

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